Ce monde est complexe.
D’aucun dirait même qu’il est devenu fou. Notre époque est en effet mouvante, instable et difficilement prévisible. Non seulement les progrès du numérique, de la biologie, des modes de transport et de l’industrie sont rapides, mais encore, ils s’accélèrent avec la conscience de plus en plus claire que notre planète doit être préservée.
En outre, tous les domaines sont intimement liés, comme tricotés serrés, (le commerce, les flux migratoires, les progrès de la science, de la santé…) et ajoutent encore à la complexité. Les conséquences sont lourdes sur nos sociétés qui jugent ce monde soit merveilleux, soit catastrophique selon le degré d’optimisme de chacun ou sa faculté d’adaptation ; il est assurément perturbé.
Afin de trouver le cap, il est nécessaire de bien connaître son sujet, de rassembler le maximum de connaissances factuelles avant de passer à une phase d’analyse puis d’action. Il s’agit ici de collecter ces connaissances (statistiques, processus, évènements ….) qui ont en commun la rapidité encore jamais atteinte des changements. Ce site se veut une école de la « raison et du doute méthodique face au tohu-bohu des évènements » (Claude Imbert) pour :
Trouver puis garder le cap,
et pour cela je vous propose de
1 – Rassembler des faits concrets tel un cliché sur le présent
Les faits sont têtus, ils constituent le point de départ de toute réflexion. En effet, les sentiments et les interprétations sont autant de faux amis, je vous propose d’aborder les thèmes ci-dessous dont 2 sont transverses (la finance et le numérique).
2 – Analyser ces faits pour en dégager des perspectives
Rien ne sert de collecter des faits sans les analyser. Ces analyses nous permettent de dégager des perspectives et des propositions qui nous conduisent certainement vers un nouveau paradigme à définir.
3 – Juger ou agir
Trouver et garder son cap appartient à chacun, ce qui ne concerne donc pas ce site qui a pour seul but de permettre de juger ou d’agir en pleine connaissance de cause.
Bien d’accord avec le schéma de JCR. Assez facile à « vendre » aux scientifiques et autres cartésiens. Difficile auprès de ceux qui entendent plutôt leur intuition, leurs craintes. On ne peut pas se satisfaire d’éviter ses propres sentiment de peur et d’injustice si une majorité n’adhère pas et le montre par ses votes ou dans la rue. D’où la nécessité de trouver des arguments de « vente »; ce faisant, on trouvera certainement des voies d’approfondissement de nos analyses, qui nous seront profitables.
Merci Jean-Michel pour ton commentaire qui souligne la difficulté que j’ai rencontrée dans ma démarche pour trouver un cap dans cette société encore perturbée par la crise sanitaire actuelle. Je ne suis pas certain que l’arborescence proposée soit tout à fait pertinente, c’est pour cela que j’attends des propositions pour l’améliorer.
Amitiés JC